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Séminaire « L’Acte analytique »

Des co-naissances à l’acte

Séance du jeudi 27 Janvier 2005

Date de mise en ligne : samedi 19 mars 2005

Auteur : Paul PAPAHAGI

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Le problème avec ce foutu langage qui nous est imparti à nous autres parlêtres (para-êtres pourquoi pas), c’est qu’il est à la fois synchronie (métaphore), autrement dit subversion du sujet, et diachronie (métonymie), c’est-à-dire dialectique du désir. De la métaphore du symptôme à la métonymie de l’objet a il faut le temps... d’une analyse.

En guise de déconnade une question à mille balles : Comment le tsunami aura-t-il su que c’était jour de « troisième tour » en Ukraine ? Serait-ce par les agents du S.F.B. de SRI-Lanca ? Encore une hérésie lacanienne ? C’était tout de même pas un tsunami con... scient !

Le propre du signifiant est que refoulement et retour du refoulé c’est la même chose. Comme si le symptôme n’y était pas au moment de sa fabrication mais « nach träglich » (après coup) nous dit Freud.

Alors Pavlov à la fac de lettres apporte un sentiment de con... science à soir.

Qu’est-il advenu à la place d’où parle Lacan qui le situe en position excentrique parmi les psychanalystes ? Incomblé par le satisfecit de l’affluence Lacan va au-delà du malentendu de la comprenoire. L’affluence n’est pas de mâle... entendu mais de satire... à conséquence. Mesdames, pour le satyre avec un i grec, vous repasserez.

Ca va à rebrousse poil de la fonction de l’enseignement universitaire qui est que cela ne fasse pas de vagues même lorsqu’il est question de « choses brûlantes » nous dit Lacan.

Là où l’université ne satisfait pas, dans les pays en voie de développement ça donne des vagues qui débordent. A ce titre l’Assoc. Pora de Kiev fait mine de pomme de Blanche-Neige (à ne pas confondre avec la blanche qui circule en sous-main chez les intellectuels de tout bord), de pomme de Blanche-Neige, disais-je, dans le miroir brisé de l’agent orange.

Du côté des psychanalystes, qui ne sont pourtant pas en voie de développement personnel il y a aussi quelque chose de tendu à l’acte. Le pratiquent-ils en professionnels, assurés de leur expérience ? Que du psychanalyste pas satyre à l’acte, d’être habile à l’exercer il résulte des conséquences sérieuses, pense Lacan.

Toutefois, l’acte psychanalytique intéresse à n’en pas douter des non-analystes, ce que Lacan tient pour une conversion (à ne pas confondre avec la version du con de l’éloge lacanien, mais j’anticipe). Conversion du rapport du sujet au savoir mais seuls certains auront trouvé un savoir suffisant sur la subversion du sujet. De cette dangereuse béance résulte que ceux qui n’auront pas trouvé ce franchissement, de leur inconfort affirme Lacan « se réconfortent l’un l’autre ». Mais plutôt jugeons sur pièces ce que tente d’articuler Lacan en ce point :

« Dès lors, il apparaît déjà que faire entendre non pas hors, mais dans un certain rapport à la communauté analytique ce qu’il en est de cet acte qui intéresse tout le monde, ne peut, à l’intérieur de cette communauté, que permettre de voir plus clairement ce qui est désiré quant au statut que peuvent se donner ceux qui de cet acte font profession agissante. »

De l’abord à bord d’abord nous voilà du côté de l’acte de la motricité qui d’une échelle psychologique de plus ou moins grande profondeur méconnaît l’éclair de l’accident à l’acte.

Un certain, nommé classique, Dalbiez en l’occurrence, se serait penché sur la convergence entre Pavlov et Freud. La faiblesse de cette articulation entre physiologie pavlovienne et mécanismes de l’inconscient vient de ce que Pavlov retrouve dans les résultats de son expérimentation la liaison de signifiant à signifiant, pour Lacan de nature subjectivante, de ce qu’il l’y met lui-même au départ à son insu, cela s’entend. De cette méprise va-t-on s’étonner plus avant de retrouver en fin de course des analogies structurales ?

Le trait d’humour de Lacan ne concerne pas le structuralisme de Pavlov, qui est patent. Plutôt son lacanisme pour distraire son auditoire. L’ignorance de Pavlov, de ses présupposés, est insuffisante à ouvrir un hypothétique inconscient pavlovien. Quelque chose manque.

À une oreille pourtant sensée être familière au pavlovisme (il s’agit d’un communiste, ami de Lacan, dont je vous laisse le soin de deviner le nom), un certain propos d’un certain psychanalyste paraît tout de même un peu fort de café.

Je vais donc vous citer celui que Lacan aura appelé le benêt dans les siens « Écrits » : « Je n’admets aucun concept psychanalytique, que je ne l’aie vérifié sur le rat. »

Cette référence ratière est pourtant familière à vous oreilles psychanalytiques et je laisse au soin de notre ami Christophe de trouver la convergence avec l’imputation paranoïaque même si Lacan le dit « hors de tout heur pour en arriver à de pareilles extrémités ». Il est tout de même question de la théorie analytique dans ses rapports avec la « Zwang neurose » et il est bon de rappeler que Lacan a pu dire des idées délirantes, de cette patiente qu’il nomme Aimée, qu’elles étaient réduites à des obsessions quand elle était au calme chez ses parents avec son fils. Que Lacan ait pu dire dans une réunion scientifique de la S.P.P. qu’il s’agissait d’une névrose est digne des déviations de la pensée freudienne qu’il a lui-même subies avant de les dénoncer dans la sienne « Direction de la cure » dont il sera question bientôt.

D’un important (comme l’avait appelé Alain) en éloge d’un autre (avec petit a) voilà Lacan en prise avec un réflexe cher à Pavlov. Contraction pupillaire provoquée par Contract et All y compris la première con-syllabe, illustre, par allusion à la barre lacanienne par le langage, à quel point la théorie psychanalytique de son temps avait glissé du côté des tigraisses qui mouillent fistule ou pas.

Est-ce que l’acte analytique peut être interrogé à partir de ce qu’il opère psychanalytiquement ?

Mais écoutons plutôt Lacan le dire à la manière d’une mélopée : « Quelle est l’essence de ce qui du psychanalyste en tant qu’opérant fait acte ? » Cette musique consonne Antique est d’une belle équivociférance, n’est-il pas vrai ?

S’il y a une part de jeu, s’agit-il d’un acte symptomatique à la mode de cette fâcheuse (c’est de Lacan) « Psychopathologie de la vie quotidienne » où Freud pose l’acte comme signifiant ? Pourquoi fâcheuse me direz-vous ? Peut-être parce que dire que les formations de l’inconscient sont une maladie n’est pas du goût de Lacan. Il n’est donc pas sûr que Lacan suit Freud dans l’ambiguïté conceptuelle qu’il (Lacan) repère chez le dernier.

« C’est bien ici que prend son prix le rappel que j’ai fait de l’ambiguïté laissée à la base conceptuelle de la psychanalyse entre motricité et acte ».

Que serait-elle : une psychactologie du quotidien du psychanalyste sans dimension signifiante ?

Bien au contraire de l’acte qui s’affiche, pour Freud, l’acte dans ses rapports à l’inconscient serait plutôt un bouche trou là où on ne pense pas, pour occuper les mains distraites faute d’un autre jeu de mains.

Et Lacan de définir l’intervention psychanalytique comme suit :

« Voilà ce qu’est l’intervention analytique, l’acte donc, renversement semblable à celui que nous avons fait la dernière fois concernant celui de la face motrice même du réflexe que Pavlov appelle absolu ; cette face motrice n’est pas dans le fait que la jambe s’étende (prenez garde mesdames au marteau à cour la Déesse...) parce que vous tapez un tendon ; cette face motrice c’est là où on tient le marteau pour la provoquer. »

Et plus loin :

« L’acte symptomatique, il faut bien qu’il contienne déjà en soi quelque chose qui le prépare au moins à cet accès, à ce qui pour nous, dans notre perspective, réalisera sa plénitude d’acte, mais après coup. »

L’impression se dégage qu’à la place de la parole pleine de la période intersubjective de Lacan s’est substituée la plénitude de l’acte. (On pourrait dire le réel plein). Lacan confiait à l’occasion d’une présentation de malade qu’il peut lui arriver de s’égarer de la théorie mais que c’est son acte qui le sauve.

Cette leçon du séminaire se poursuit par un argumentaire de taille, dont par deux fois Lacan s’excuse. Je prends le parti d’élaborer quelques points vifs.

Mais avant je laisse aux internautes en herbe un avis de recherche concernant un texte que Lacan introduit sans le nommer : « Vous savez le cas célèbre par quoi Théodore reste immortel dans la tradition analytique, cette clairvoyante délirante au nom merveilleux dont il a fait un ouvrage et dont vous ne sauriez trop profiter si l’ouvrage vous tombe sous la main, je crois qu’il n’est pas courant pour l’instant. »

Vous me direz un ouvrage de Théodore Flournoy sans titre mais traitant d’une patiente délirante ça ne vous facilite pas la tâche, je vous l’accorde.

Le premier point sur lequel je vais me pencher a déjà été abordé par Agnès Sofiyana la dernière fois. Passage à l’acte dans ses rapports avec l’acting-out. Pour mémoire une tableau qui figure dans le séminaire sur l’Angoisse (Leçon du 19 décembre 1962) :

Difficulté/Mouvement I S R
Inhibition Empêchement Embarras
Émotion Symptôme Passage à l’acte
Émoi Acting-out Angoisse

Concernant le passage à l’acte dans sa leçon du 23 Janvier 1963 voici ce qu’articule Lacan :

« Se laisser tomber est le corrélat du passage à l’acte » ; puis : « Le moment du passage à l’acte est celui du plus grand embarras... »

De la scène historisée où se tient le sujet, icelui « se précipite et bascule hors de la scène » (comme le benêt qui se trouvait hors de toute heur ?)

On peut se demander si c’est le destin de tout acting-out de déboucher sur un passage à l’acte (histoire d’une passe annoncée ? Performance sans compétence ou compétence sans performance concernant l’acte analytique ?).

Lacan affirme plus loin : « Tout ce qui est acting-out est à l’opposé du passage à l’acte », pour préciser ensuite concernant la jeune homosexuelle :

« ... Si la tentative de suicide est un passage à l’acte, toute l’aventure avec la dame de réputation douteuse qui est portée à la fonction d’objet suprême est un acting-out. Si la gifle de Dora est un passage à l’acte, tout son comportement paradoxal dans le ménage des K., que Freud découvre tout de suite avec tant de perspicacité, est un acting-out. »

Est-ce que la jeune homosexuelle par son acte de se jeter, fait un clin d’œil à sa dame : « je t’ai » ? La suite semble lui donner raison, puisqu’attendrie par le tendron elle lui accordera un peu plus.

Lacan envisage l’acting-out dans ses rapports avec l’objet a et le symptôme : « L’acting-out, c’est essentiellement la monstration, le montrage, voilé sans doute... » ; puis : « L’essentiel de ce qui est montré, c’est ce reste, sa chute, ce qui tombe dans l’affaire. »

Plus étonnante, l’affirmation plus loin par Lacan : « L’acting-out, c’est un symptôme. Le symptôme se montre comme autre, lui aussi. La preuve c’est qu’il doit être interprété. » Seulement pour qu’il (le symptôme) le soit, il y faut le transfert, c’est-à-dire l’introduction de l’Autre (avec un grand A). Mais seulement le symptôme est patient, il n’appelle pas l’interprétation contrairement à l’acting-out.

Lacan est embarrassé par la question de comment interpréter un acting-out et du coup il nous fait passer de l’étonnement à la sidération par un propos que pour ma part j’ai trouvé déboussolant mais peut-être ne va-t-il pas vous bousculer autant que votre serviteur.

« À la différence du symptôme, l’acting-out lui, éh bien, c’est l’amorce du transfert (jusque là, ça peut encore aller, mais...) C’est le transfert sauvage. » La chute est vertigineuse : « Mais le transfert sans analyse, c’est l’acting-out, l’acting-out sans analyse, c’est le transfert. »

La question que l’on peut poser compte tenu de ce que la gifle de Dora et les cervelles fraîches surviennent après interprétation, c’est de quelle interprétation il s’agit dans un cas par rapport à l’autre.

Nous arrivons à un point obscur de cette élaboration, ce qui m’amène à aborder le deuxième point qui me semble mériter élaboration à savoir la question du transfert. Lacan n’hésite pas à faire un parallèle entre la communication d’Olivier Flournoy (petit fils de Théodore du même nom) et son texte « Direction de la cure et principe de son pouvoir » qui le précède de neuf ans et demi.

Texte difficile qui mériterait à plus d’un titre que vous vous y reportiez, ne serait-ce que pour admirer l’élégance du mot de la fin au sujet d’un cas de névrose obsessionnelle qui aura évité de peu le zwang paranoïaque ; ce qui démontre s’il en était besoin que les voies de la structure sont accessibles à un psychanalyste digne de ce nom.

Un important, nommé Sachs, de la société américaine, va jusqu’à proférer que le transfert constitue un mode de défense de l’analyste qui de ce fait se voit mis sur la sellette de la suspicion jusqu’à rendre le fondement de l’analyse illusoire. Il n’était pas allé si loin, Lacan, dans sa Direction... qui pouvait dire que de se fourvoyer dans la déconceptualisation, quelqu’un comme Bouvet n’en restait pas moins un analyste.

Se fiant aux armes de son intellectualisme décrié par les goujats Lacan conclut : « Par conséquent à partir du moment où les sociétés psychanalytiques sont fermement assises sur leurs bases (de petits souliers, on se demande), on peut aussi bien dire que le concept de transfert est une foutaise. Ca n’affecte rien. »

Enfin, un dernier point va nous entraîner dans une excursion du côté de la Proposition du 9 Octobre... version écrite. Voici le point :

« Cette sorte de mühen des bagatelles, c’est évidemment ce qui fait de plus en plus la loi de ce que j’ai appelé tout à l’heure l’acte d’affirmation de l’analyse. Plus on s’affirme de bagatelle, plus on engendre du respect. »

En prenant appuis sur les nombres transfinis de Cantor dont personne n’ignore le prix qu’il l’aura payé, Lacan affirme l’ordre où le désir de l’analyste se situe et ce qu’il a à savoir d’en réserve. Malheureusement c’est encore les mathématiques qui expliquent l’aisance avec laquelle ce qu’il appelle des néants grimpent aux postes de commande des sociétés analytiques. Il y aurait confusion sur le zéro. Car si le vide est physique donc réel, le rien, qu’il s’agit de distinguer du premier, se situe du côté du signifiant, donc du manque à être. L’être, de consistance imaginaire a prise sur le réel qu’il tricote devant, même s’il est meublé par le néant (du savoir). Les suffisances imposent le silence aux petits souliers reconnaissants d’avoir été libérés du joug de l’intellectualisme.

D’éloge de Socrate en éloge d’Erasme, joie des médecins, pharmaciens et autres dentistes, nous voilà arrivés à l’éloge, cher à Lacan, de la connerie. Et, comme je ne peux le dire mieux que Lacan, voici :

« L’éloge de la connerie serait assurément opération plus subtile à mener car, à la vérité, qu’est-ce-que la connerie ? Si je l’introduis au moment de faire le vrai pas essentiel concernant ce qu’il en est de l’acte analytique, c’est pour faire remarquer que ce n’est pas une notion facile. Dire ce que c’est est difficile. C’est quelque chose comme un nœud, un nœud autour de quoi s’édifient bien des choses, et se délèguent toutes sortes de pouvoirs, qui est assurément quelque chose de stratifié, et on ne peut pas la considérer comme simple. À un certain degré de maturité, si je puis dire, c’est plus que respectable. Ça n’est pas ce qui mérite le plus de respect mais c’est assurément ce qui en recueille. »

Vade retro ça en cache des choses cette structure de la connerie, stratifiée, respectable, nœud pap n’est pas nœud beau. Il déconnait quoi ce con qui déconnait à pleins tuyaux là où le fou se contente de débloquer non sans rigueur ?

La déconceptualisation menacerait-elle l’acte analytique ?

Du côté de la mal dite « Psychopath... », un pas de Freud, ces actes symptomatiques qui trahissent leur valeur signifiante (souvenez vous l’acting-out du transfert qui m’avait renversé tout à l’heure), le moins qu’on puisse dire c’est qu’ils sont pas si cons. C’est plutôt leur interprétation flottante qui est menacée de déconnaissance.

En somme cet acte symptomatique aurait quelque chose d’éclair (à ne pas confondre avec la fermeture... nous dirait Guy Massat) qui fait mouiller d’aise le seul amant de la Marquise de Sévigné (sa fille en l’occurrence).

Ce que ça gite au cœur du message freudien ne peut être repris dans l’acte analytique qu’à glisser dans le déconnant des connaissances (en deux mots). Car du mot con qu’est-ce qui fait tenir la chose ? Qu’y a-t-il de dialectique dans le combat des bas cons et des hauts cons (à ne pas confondre avec les faux cons qui font la politique outre-Atlantique).

Car entre la vérité de la connerie et la connerie de la vérité ce que j’avais appelé la psych-actologie du psychanalyste ordinaire se prend les pieds ; et on arrive au peuple psy dont un ami l’air de rien devient meneur. Les assos psys n’assexuent plus la vérité, pour le malheur du législateur qui ne tardera pas à se prendre les pieds dans le concret comme tout un chacun. Et pour comble de malheur Freud s’y met aussi qui soutient que l’organe avantageux est impropre (pas à la consommation encore que cela arrive) impropre à la jouissance.

Du coup sans rapport, se répète... l’acte analytique (bien que la transgression le guette, voire l’acting-out). Car l’analyste est... « une femme de non-recevoir », ce qui n’est pas drôle, même si les analysants glissent sur leur adorable symptôme au pays des phantasmes qui chantent.

Pour ce qui est de la structure qu’on prend par les deux bouts je vous attends toujours. Avis aux amateurs de Nœuds Beaux Dentés : ça commence à quatre. Ça me rappelle que j’avais demandé à Guy Massat si les trois nœuds beaux à quatre que je lui avais montrés ne seraient pas trois présentations du même.

Et pour les bonnes blagues adressez vous au service des Formations de l’Inconscient. Pour la formation du psychanalyste, vous repasserez. Pardonnez moi si vous l’avez trouvé dense car à partir de la prochaine fois c’est au sérieux que vous aurez droit... mais non, mais non, mais non... pas celui-là, mais un dialogue platonicien nommé Ménon. Avis aux lecteurs avisés.

Voir en ligne : J. Lacan : Séminaire « L’acte psychanalytique ». Leçon du 22 novembre 1967 (gaogoa.free.fr)

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