« Comment allez-vous agir ?
– Nous avons décidé d’engager des actions rectificatives afin de poser une question très simple : que se passe-t-il dans ce pays lorsqu’une oeuvre de l’esprit n’est pas divulguée ? Est-ce qu’on doit considérer que c’est un bien privé dont l’exécuteur testamentaire dispose comme d’un portefeuille boursier ? Sur le plan juridique, Jacques Alain Miller est dans une situation sans issue. Car c’est une action qui existe dans le code de la propriété littéraire et artistique. Elle reconnaît la possibilité d’agir quand il y a abus de non-divulgation » (Nathanaël Majster, LeFigaro.fr).