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A. Lacassagne

À propos de Maupassant

Archives d’Anthropologie criminelle (1910)

Date de mise en ligne : mercredi 21 mars 2007

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A. Lacassagne, « À propos de Maupassant », Archives d’Anthropologie criminelle, de Médecine légale et de Psychologie normale et pathologique, 25e Année, t. XXV, Éd. Masson et Cie, Paris, 1910, pp. 104-111.

À PROPOS DE MAUPASSANT

« Je suis entré dans la vie littéraire comme un météore et j’en sortirai comme un coup de foudre », avait dit Maupassant, énonçant ainsi une prédiction dont la seconde partie ne tarda pas à se réaliser elle aussi, plus exactement qu’il ne le supposait sans doute ! Mais quelle trace profonde il a laissée derrière lui : il s’est acquis des admirateurs enthousiastes, et si, comme tous, il a ses détracteurs, il est bien peu d’auteurs aussi abondamment étudiés, discutés, analysés quelques années seulement après leur mort, bien peu ont suscité d’aussi vives curiosités. Les nombreux ouvrages qui ont été et continuent à être publiés sur Maupassant, son oeuvre, sa vie, sa maladie, sa mort, sont la plus éclatante confirmation de son génie.

Ces temps derniers, deux plaquettes nouvelles se sont jointes à la bibliothèque déjà importante qui a pour sujet Maupassant.

L’une d’elles est plus spécialement littéraire ; c’est la publication d’une conférence intitulée le Pessimisme de Maupassant, faite à l’Office social de Lyon, par M. Léon Gistucci, professeur au Lycée Ampère [1].

Pour lui, la vie et l’oeuvre de l’écrivain laissent bien voir que, né pour penser, aimer, agir dans le sens de l’Idéal, Maupassant a été assombri par la maladie qui l’a rendu pessimiste en lui versant son poison, mais qui, en ruinant son corps, a singularisé son génie et finalement servi sa gloire ; d’ailleurs, Maupassant a partout été lucide et conscient dans tout ce qu’il a écrit.

Dans la seconde brochure dont nous voulons parler, l’auteur s’efforce, au contraire, de prouver en s’appuyant sur des arguments scientifiques que :

1° La maladie de Maupassant, dont le début remonte aux années 1883-1884, va influencer les productions de l’auteur en modifiant son humeur et idéalisant son pessimisme naturel ;

2° Que loin d’augmenter son intelligence, de servir son génie, la maladie n’a fait que les diminuer jusqu’à les abolir ;

3° Qu’on reconnaît dans certaines nouvelles les progrès de la maladie et les ravages qu’elle produit dans le cerveau de l’écrivain.

Ces deux conclusions absolument opposées n’enlèvent d’ailleurs rien, ni à l’intérêt, ni à la valeur, ni au sérieux des deux oeuvres que nous venons de présenter.

À cause de la tournure scientifique de son sujet, nous parlerons plus spécialement de la deuxième publication. C’est le tirage à part d’une série d’articles publiés dans les Annales médico-psychologiques, intitulé : « Guy de Maupassant, Étude de psychologie pathologique, par le Dr Lucien Lagriffe, ancien chef de clinique à la Faculté, médecin des asiles [2] », travail remarquable, très étudié, très complet et original.

Nous allons, dans une courte analyse de cet ouvrage divisé en trois chapitres : la maladie, la misogynie de Maupassant et analyse de quelques contes, insister sur les points plus spécialement mis en avant par l’auteur pour la démonstration de sa thèse.

Dans l’hérédité, il étudie le caractère névropathique de la mère, Mme Laure de Maupassant ; chez l’écrivain lui-même, il retient comme causes étiologiques favorisantes la tendance neurasthénique qui se manifeste dès 1872, puis les excès sexuels et alcooliques, bien plus importants que les intoxications par les narcotiques et surtout que le surmenage physique, se renouvelant tout au plus une fois par semaine chez le bureaucrate qu’était Maupassant à ce moment ; mais bien plus dangereuses étaient les conséquences de ces parties de canotage et les petites maîtresses en commun comme : Mouche, Ça ira, etc. C’est peut-être d’une de celles-là que Guy contracta la syphilis, soit en l’année 1877, soit plutôt en 1879. Comme première manifestation viscérale, apparaît l’affection oculaire en 1880, qui, pour M. Lagrifle, serait une iritis chronique avec exacerbations.

Donc syphilis grave, et c’est pourquoi les médecins d’alors, s’appuyant sur l’opinion de l’époque que surtout les syphilis bénignes étaient dangereuses pour le cerveau, ne surent pas dépister la paralysie générale au début, et laissèrent le malade sans prévenir son entourage, passer de longues semaines, seul avec deux matelots, sur un yacht en pleine mer, et s’engager dans les nombreuses actions judiciaires qui se sont succédé pendant toute la dernière partie de son existence ; et tout cela d’autant plus que l’on voyait Maupassant continuer à produire !

Mais quand, au point de vue mental, a débuté sa maladie ? Celle-ci marque-t-elle son empreinte dans l’oeuvre ? De ce que Maupassant se complaise dans de nombreux contes, à mettre en scène du surnaturel, du bizarre, des récits de terreur, d’hallucinations, etc., faut-il conclure que tous ces passages sont l’oeuvre d’un aliéné ?

Non ; c’est une tendance naturelle de l’auteur qui se manifeste déjà en 1875, bien avant tout début de son affection, dans la Main d’écorché. Mais la folie, dit M. Lagriffe, n’est souvent qu’une exagération des tendances naturelles ; il va s’acheminer progressivement vers la démence et nous allons suivre dans son oeuvre l’évolution de cette déchéance, partant de la Main d’écorché, production d’une intelligence intacte, en passant par Sur l’eau, rêve d’un alcoolique, Lui ? de 1884, où l’auteur malade est touché par le doute, le Horla, en 1887, où tout est délire, description d’une hallucination interne, enfin Qui sait ? en 1890, qui clôt son oeuvre par une manifestation délirante.

Telle est la progression que l’on retrouve comme des jalons dans l’oeuvre de Maupassant, lézardes traduisant les préoccupations intimes de l’auteur, qui avaient ou semblaient avoir des précédents, mais, en réalité, étaient de plus en plus caractéristiques.

Dans Lui ?, en 1884, on trouve la première atteinte certaine ; à ce moment, Guy est profondément. touché, ne rectifie qu’à peine ses hallucinations, et son sens critique ne l’avertit plus que ce ne sont pas là choses à publier !

À la même époque, on voit l’auteur atteindre, en 1885, son fastigium de production avec cinq volumes et ensuite diminuer sa livraison annuelle. En même temps, son genre change : comme le remarquent tous les littérateurs, il se sensibilise ! Voilà deux signes certains de sa paralysie générale établie. En effet, plus tard, ce sont les procès à partir de 1887, le changement de caractère, la déchéance physique qui commence (1890), la tentative de suicide (1892), l’internement, et la mort le 6 juillet 1893 à l’âge de quarante-trois ans.

Le diagnostic est certain de paralysie générale, avec le caractère particulier qu’on lui retrouve chez les héréditaires, c’est-à-dire une marche lente, avec début en 1883 et dix ans d’évolution.

Mais comment, chez un paralytique général avéré, l’intelligence est-elle maintenue si longtemps intacte ou presque, puisque sa production littéraire se continue admirable jusqu’en 1890, avec seulement, de temps en temps, une lacune comme les nouvelles signalées plus haut ? Cest, dit M. Lagriffe que Maupassant ne fut qu’un observateur sans imagination, c’était un bon ouvrier et non pas un grand artiste. Bon ouvrier, en effet, ayant péniblement étudié dix ans son métier ; et ce métier si bien appris, il ne l’oubliera pas jusqu’à la fin, continuera à produire malgré tout, par automatisme professionnel, et n’interrompra son oeuvre qu’au dernier moment, en entrant dans la période terminale de son affection.

Celle-ci a donc diminué son intelligence jusqu’à l’abolir ; Maupassant ne fut pas un grand écrivain, parce qu’il devint paralytique général : au contraire, la maladie a ruiné son talent !

Tel est le point de vue très intéressant auquel s’est placé M. Lagriffe. Sa compétence en pathologie mentale le désignait pour analyser et discuter la maladie de Maupassant.

On ne saurait cependant admettre sans réserves tous les points de son argumentation.

Avec lui, il nous semble inutile d’insister sur le diagnostic de l’affection de l’écrivain : c’est une paralysie générale évidente, et il suffit de lire le récit de la fin de sa vie, de regarder l’écriture de ses dernières lettres pour en retrouver toutes les preuves indiscutables.

Une thèse soutenue à Toulouse [3] admet le diagnostic de délire systématisé progressif ; c’est surtout une discussion d’école, qui fait rentrer le cas de Maupassant dans les leuco-encéphalites défendues par M. le professeur Rémond, et qui n’élimine en rien le syndrome paralysie générale.

À quelle époque devons-nous faire remonter le début de cette affection ? Nous avons vu que pour M. Lagriffe l’accident primitif correspondrait peut-être à la date de 1877, époque d’un séjour inexpliqué à Loëche, ou bien plutôt à l’année 1879.

Cette dernière date nous parait plus vraisemblable aussi à cause de l’affection oculaire, dont les premiers symptômes remontent à l’année 1880 ; le 27 mars, en effet, nous trouvons pour la première fois le signal de cette affection, caractérisée par des troubles visuels, de la douleur, de la fatigue rapide.

Il ne peut s’agir que d’une iritis chronique avec exacerbations. Or, cette lésion est un accident précoce, survenant le plus souvent quelques mois après l’accident primitif, ce qui semble localiser exactement la date de la syphilis de Maupassant. Nous admettons donc, et tout confirme cette date, qu’il fut atteint en 1879, environ, de l’infection qui est à l’origine de sa paralysie générale. Mais il reste à chercher combien de temps après survint celle-ci.

M. L’agriffe s’appuie sur la date de la nouvelle Lui ?, sur le summum de la production, sur la sensibilisation de Maupassant, pour fixer aux années 1883-1884 le début de la maladie mentale. Mais, un autre élément, dont il tient, ce nous semble, insuffisamment compte, vient appuyer cette date de 1883, c’est le diagnostic du Dr Landolt, assez affirmatif cependant pour ne pas être négligé. Une déformation pupillaire pourrait s’expliquer par l’iritis seule, mais l’inégalité ne saurait être mise sur le compte de rien autre que la paralysie générale. Et, d’ailleurs, M. Landoit s’appuyait sur d’autres signes concomitants et caractéristiques, puisqu’il écrit : « Le mal, en apparence insignifiant (dilatation d’une pupille), me fit prévoir cependant à cause des troubles fonctionnels qui l’accompagnaient la fin lamentable qui attendait le jeune écrivain. » il semble que le diagnostic était alors plus que soupçonné et que, au moins depuis 1883, Maupassant était paralytique général.

Ce serait donc peu de temps après sa syphilis, trois ans environ, c’est-à-dire très précocement qu’apparurent les premiers signes d’une paralysie générale qui, pendant plus de dix ans, resta dans une période de latence bénigne, sauf quelques troubles somatiques et psychiques a forme neurasthénique, n’altérant en rien le génie de l’auteur, jusqu’au moment où sombra brusquement tout son organisme et où, en même temps, il y eut désorganisation de l’intelligence et du corps de l’écrivain. On peut, en effet, diviser la vie pathologique de Maupassant en plusieurs périodes.

De 1870 à 1880, période d’intoxication (qui s’est poursuivie ensuite sans doute) avec hérédité nerveuse, excès alcooliques et syphilisation, narcotiques. ces derniers bien moins importants que ne le raconte l’auteur, ce qui n’est pas fait pour nous étonner : il y a des précédents célèbres [4].

De 1880 à 1890, période d’incubation avec quelques accidents psychiques et somatiques : inégalité pupillaire, phobies, insomnies, céphalées, névralgies, mélancolie, irritabilité ; mais conservation intacte du talent, des moyens, de la production des chefs-d’œuvre, de la santé apparente.

Enfin, de 1890 à la mort, la déchéance brusque avec amaigrissement et changement de physionomie, procès continuels, cessation de la production, destruction de l’intelligence, tentative de suicide, internement. C’est cette période de 1890-1891 qui se présente comme critique dans l’histoire de la maladie de Maupassant et au cours de laquelle s’altèrent en même temps et son état général et son intelligence. Dans le Journal des Concourt, on lit tous les deux ou trois mois quelques phrases sur lui, relatant son état de santé, ses bizarreries. Pour la première fois, le 23 novembre 1890, on trouve signalée l’altération apparente de son organisme : « Je suis frappé ce matin de la mauvaise mine de Maupassant, du décharnement de sa figure, de son teint briqueté, du caractère marqué, ainsi qu’on dit au théâtre, qu’a pris sa personne, et même de la fixité maladive de son regard. »

Et nous ne croyons pas, d’autre part, que l’on puisse attribuer le genre particulier des nouvelles publiées avant 1890, à la maladie elle-même. Que l’existence de celle-ci ait marqué son empreinte sur le caractère et la nature des productions de l’auteur, c’est indéniable, mais que Lui ?, le Horla, Fou ?, Qui sait ? soient des lacunes narrant les délires de l’auteur, voilà ce qu’il est bien hasardeux d’avancer. C’est d’ailleurs l’opinion de Bajénoff [5], qui rapporte une anecdote amusante du Journal des Concourt : « Ceux-ci racontent que ce serait Porto-Riche qui a donné à Maupassant le sujet du Horla et qu’il est tout à fait inquiet quand on découvre en sa présence dans cette nouvelle le commencement de la folie du romancier et ne peut s’empêcher de s’écrier : “Si cette nouvelle est d’un fou, c’est moi qui suis le fou !” »

Il serait possible de remonter ainsi à l’origine de plusieurs nouvelles de Maupassant, car si l’on hésite à souscrire facilement à l’opinion de M. Lagriffe, qu’il ne fut pas un grand artiste, du moins on doit reconnaître que la plupart de ses sujets ne sont pas des produits de son imagination, mais le récit d’anecdotes entendues, de faits divers recueillis autour de lui ; plusieurs ont leur inspiration dans Tourgueneff.

On pourrait énumérer plus de vingt nouvelles dans l’oeuvre de Maupassant qui relatent des récits d’aliénés ; dira-t-on pour cela qu’il en fut lui-même le héros ?

Il n’y a pas plus de raison d’admettre que le Horla est le récit d’une hallucination personnelle que de voir dans Un Fou (M. Parent) et un Cas de divorce (l’inutile beauté) les preuves de sadisme ou de perversions sexuelles de l’écrivain ! Toute l’oeuvre de Maupassant est pleine de nouvelles de ce genre, depuis le début de son oeuvre jusqu’à la fin : on en citerait un grand nombre : Solitude (M. Parent), Magnétisme, Rêves (le Père Millon), la Nuit, Apparition (Clair de lune), Un Fou, Un Lâche, l’Auberge, la Peur, la Main, la Chevelure, etc. Enfin toute l’œuvre, avec son pessimisme même, sa tendance continuelle à ne voir jamais que l’amertume de la vie et l’imperfection des hommes ne forme-t-elle pas, sans aucun ordre chronologique, les différents échelons de cette tendance mélancolique ? Quelle est l’influence de la maladie sur cette production : avant 1883, l’oeuvre porte déjà cette empreinte, et nous n’en voulons pour preuve que ce morceau du volume Des vers, publié en 1879, intitulé Terreur, qui décrit une formidable hallucination. À ce moment, Maupassant n’était sûrement pas paralytique général. Mais il était déjà neurasthénique ! II avait cette tendance pessimiste qu’il tenait surtout de son hérédité nerveuse.

Son oeuvre entière, ses lettres à sa mère, à Flaubert, bien avant son début en littérature, bien avant son infection syphilitique, en portent la marque ; il est déjà hanté par le mystérieux, l’inexpliqué, il y revient sans cesse ; c’est une tendance naturelle et non pas acquise, aussi prononcée dès le début qu’à la fin de son oeuvre. Rien dans ses productions n’est l’écrit d’un aliéné, d’un délirant, d’un inconscient !

Cependant, sa syphilis marque une aggravation de son pessimisme ; il se produit chez lui ce que l’on peut retrouver aussi dans l’oeuvre de plusieurs autres écrivains qui, atteints de cette même maladie, ont éprouvé de ce fait, dans leurs productions littéraires, une tournure mélancolique, un pessimisme accentué : c’est le cas de Heine, mais surtout de Schopenhauer et de Nietzche.

Vers 1891, nous voyons brusquement chez Maupassant la désorganisation s’accomplir : la différence entre les deux lettres, du 14 mars 1891 et celle du 27 juin de la même année, marque cette période. La première est presque correcte, l’écriture est normale, on trouve quelques ratures à la fin seulement, indiquant un peu de fatigue ; la seconde, à trois mois d’intervalle, est absolument caractéristique, avec altération complète de l’écriture, fautes nombreuses et lourdes d’orthographe et de français.

C’est dans ce court intervalle de temps que la déchéance s’est consommée. À ce moment seulement, ses moyens vont lui faire défaut, il cesse de produire, il ne pourra achever l’Angélus. Jusqu’à la fin son génie avait résisté à l’affection qui l’avait vaincu.

Serait-ce parce que Maupassant n’était qu’un bon ouvrier et non pas un grand artiste ? Nous ne le croyons pas. Le fait qu’il a longtemps travaillé avant de se lancer tout à coup, à l’âge de trente ans, dans la carrière littéraire, par la publication d’un chef-d’oeuvre, Boule de Suif, n’est pas un signe de moindre talent. Dans tous les ordres de production de l’esprit humain, on se rend aisément compte que les génies ne se sont pas singularisés par la spontanéité, mais tous le sont devenus par le travail acharné ; les rares cas de précocité extraordinaire sont faits surtout de légendes dont on s’est plu, après leur mort, à entourer la carrière des grands hommes. « Le génie est une longue patience », a dit Newton.

Maupassant, comme tous les grands producteurs, fut un travailleur forcené, il n’en a pas moins été un artiste incomparable.

Comme conclusion, nous pensons : que Guy de Maupassant n’était pas un idéaliste aigri par la maladie, mais un pessimiste dès le début et par hérédité ; que la paralysie générale dont il est mort n’a pas altéré la valeur de son talent littéraire jusqu’au jour où elle en a enrayé la production.

P.-S.

Texte établi par PSYCHANALYSE-PARIS.COM d’après l’article d’A. Lacassagne, « À propos de Maupassant », Archives d’Anthropologie criminelle, de Médecine légale et de Psychologie normale et pathologique, 25e Année, t. XXV, Éd. Masson et Cie, Paris, 1910, pp. 104-111.

Notes

[1Le Pessimisme de Maupassant, par Léon Gistucci. Lyon 1909. Publication de l’Office social.

[2Guy de Maupassant, Étude de psychologie pathologique, par le Dr Lucien Lagriffe, Masson et Cie, 1909.

[3La folie de Maupassant, par Zacharie Lacassagne (Thèse Toulouse, 1907).

[4Étude médico-psychologique sur Thomas de Quincey, par le Dr Guerrier, Thèse Lyon 1907.

[5Archives d’anthropologie criminelle. Janvier 1904.

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