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C. M. S. Sandras

De l’impuissance

Traité pratique des maladies nerveuses (1851)

Date de mise en ligne : mercredi 9 mai 2007

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C. M. S. Sandras, « De l’impuissance », Traité pratique des maladies nerveuses (Chapitre X), T. II, Éd. Germer-Baillère, Paris, 1851, pp. 238-248.

DE L’IMPUISSANCE

DÉFINITION. — Il importe, en commençant ce chapitre, de faire remarquer qu’il concerne l’impuissance, et non la stérilité. Ce sont en effet deux choses essentiellement différentes. La stérilité chez les femmes peut provenir ou d’une longueur excessive du col de l’utérus, qui empêche le sperme de parvenir convenablement dans la matrice à la suite de l’acte générateur ; ou d’une occlusion de cet organe qui rend impossible la fécondation ; ou de quelque vice, soit des trompes, soit des ovaires, soit des oeufs ; la stérilité de l’homme peut résulter d’une direction vicieuse des canaux éjaculateurs, de quelque fistule urétrale, de quelque dépravation de la liqueur spermatique ; chez l’un comme chez l’autre, elle peut encore résulter de conditions ignorées, imprévues ou remplacées par des hypothèses. Mais tout cela n’est point l’impuissance, c’est-à-dire, l’impossibilité d’accomplir l’acte vénérien. La femme n’est jamais impuissante, à moins d’un vice de conformation ou d’un désordre organique qui la ferme ; car son rôle se borne à recevoir, et la part active qu’elle prend dans le coït n’est ni habituelle ni nécessaire. L’homme, au contraire, y accomplit toujours un rôle actif. Ce qu’on appelle avec raison impuissance est justement l’impossibilité, où certaines dispositions le mettent de s’acquitter convenablement de cette partie de son rôle, L’impuissance est, en d’autres termes, le manque d’érection pour le coït et toutes les conséquences qui s’ensuivent. Cet état peut exister chez les femmes sans grand inconvénient, même au point de vue de la génération ; il ne peut exister chez un homme, sans qu’il manque du principal attribut de son sexe.

Nous ne nous occuperons donc de l’impuissance que pour l’homme, quoique nous reconnaissions que les matières dont nous allons parler puissent aussi rencontrer des causes justes et même quelques applications dans l’autre sexe. Ce sera à la sagacité du lecteur d’en tirer parti.

On comprend tout d’abord que, dans une maladie de cette espèce, nous n’ayons à traiter que de deux choses, la recherche de la cause, d’une part, et l’examen, d’autre part, des moyens capables d’y porter remède. Le diagnostic est tout porté, puisque l’impuissance est constatée parle malade ; l’anatomie pathologique est nulle, car nous faisons abstraction des désordres locaux et des vices de conformation. Autant en faut-il dire pour le pronostic. Il ne peut et ne doit avoir rien d’absolu, puisqu’il dépend tout entier et de la nature de la cause de l’impuissance, et de l’efficacité, de la promptitude des moyens que la thérapeutique bien entendue met à la disposition du médecin. Toutes les données scientifiques importantes peuvent donc se trouver très-bien contenues dans les détails que nous allons présenter, au double point de vue de la cause et du traitement de l’impuissance.

CAUSES. — En tête de ces causes, nous devons placer naturellement celles qui dérivent du système nerveux central ; je veux parler de l’émotion, de l’imagination, de la préoccupation.

L’émotion, qui rend impuissant, peut être diverse. Ici l’émotion pourra résulter de l’approche intime de la personne aimée. Placé immédiatement en présence d’un bonheur qu’il a longtemps et vivement désiré, saisi d’un plaisir après lequel son imagination a longtemps rêvé, l’homme nerveux sent défaillir la force qui l’avait animé jusque-là ; puis ii devient confus, embarrassé de cette défaillance qui contrarie tous ses désirs, et lui donne un air ridicule et misérable, là où il avait compté se montrer dans tout l’éclat de sa force et de sa passion ; la contrariété intime qu’il en ressent, l’embarras où il se sent jeté en présence de l’objet devant qui toute confusion lui serait plus pénible, redouble et rend momentanément plus honteuse et plus invincible son impuissance. Telle est l’impuissance dans laquelle se trouvent quelquefois de nouveaux mariés aux premières approches, des amants jeunes et ardents à leurs premiers rendez-vous, des hommes faits et même habitués aux combats de Vénus, quand une possession désirée se présente à eux, et qu’ils n’ont pour ainsi dire plus qu’à saisir l’occasion.

Ce qu’il faut obtenir alors, pour sortir de cette impuissance, c’est le calme d’esprit, la confiance de soi-même, l’abandon encourageant de la personne, seule témoin de cette honte. Pour en venir là, le médecin, interrogé, devra conseiller au patient de travailler à vaincre, à dominer son émotion ; de gagner un peu de temps avant d’en venir aux plus intimes approches ; de laisser revenir en soi-même la confiance que l’homme y doit sentir ; d’attendre avant de prétendre au but, le retour des sensations de vigueur et de domination qu’il connaît ; de chasser toute idée de confusion et de découragement, puisqu’il est sûr que le temps lui donnera bientôt la possibilité de prendre une revanche éclatante ; de compter sur sa force et sur l’amour de la femme devant qui il vient de faillir pour un moment ; de s’habituer enfin à un voisinage immédiat, à des caresses, à des tentatives qui ne peuvent pas manquer, en les gouvernant bien, de devenir fructueuses. À ces conseils, faits pour rassurer et raffermir le moral, on pourra ajouter tous ceux qui peuvent matériellement calmer et fortifier le système nerveux, des bains froids, une nourriture tonique et non stimulante, une température fraîche et une accoutumance suffisante de la personne aimée.

À côté de cette impuissance, nous devons ranger naturellement celle qui provient du fait de l’imagination. Tout le monde a lu dans les Confessions de J. J. Rousseau, ce qui lui était arrivé à Venise avec cette courtisane qui l’envoya étudier les mathématiques, et ce qui lui arriva aussi dans les bras de Mme Warens. Nous avons là deux exemples frappants de l’impuissance par imagination. Montaigne nous en fournit un autre exemple, quand il parle d’un de ses amis qui craignit d’avoir, comme on disait, l’aiguillette nouée la première nuit de ses noces. Si l’impuissance redoutée avait été invincible, son ami lui devait faire un signe convenu, quand il viendrait, suivant l’usage du lieu et du temps, visiter avec les autres assistants les conjoints pendant la nuit, et Montaigne avait promis d’employer pour rompre le charme un secret sûr qu’il connaissait. La chose se passa comme elle avait été prévue et arrêtée. Montaigne sut le lendemain que l’imagination de son ami s’était rassurée au point que le charme avait été très-honorablement rompu. D’autres fois, l’imagination peut encore jouer aux hommes, même les mieux doués, de mauvais tours de cette espèce. Tantôt on pourra croire que l’ardeur dont on se sent saisi n’est nullement partagée ; on imaginera les raisons d’une préoccupation étrangère qu’on aura vue dans des yeux où l’on espérait rencontrer toute autre chose ; on pourra quelquefois se laisser aller à des appréhensions diverses de danger, de surprise, de maladie. D’autres fois, on se sentira préoccupé ou par quelques idées étrangères à l’acte qu’on veut accomplir, on par des réflexions dont on ne peut se rendre maître, par des souvenirs, par des espérances, même par des désirs sexuels portés au delà des jouissances présentes ; dans tous ces cas, l’acte bien commencé pourra finir par une impuissance absolue, on même quelquefois il n’aura pas même eu le plus léger commencement d’exécution. Ajoutons qu’une fois une impuissance bien constatée, l’imagination en reste frappée ; le souvenir qui en revient, justement au moment où il est le plus fâcheux et le plus inopportun, éteint obstinément les plus belles ardeurs.

Ici, comme pour les émotions dont nous parlions tout à l’heure, des conseils intelligents sur le gouvernement des facultés viriles sont d’une utilité, capitale. Il faut apprendre au malade à régler son imagination, à voir avec ses yeux, à fixer son attention sur le but qu’il se propose. On peut, comme l’a fait Montaigne, user d’une légitime supercherie pour rassurer une imagination effarouchée et, par exemple, dans notre temps, où l’on ne croit plus guère aux noueurs d’aiguillettes, employer, pour remonter le malade, l’opinion où il peut être de la toute-puissance médicale en ce qui regarde cette fonction. N’est-ce pas ainsi que, vers certaines sources minérales, on guérît, par l’imagination, des impuissances qu’une imagination contraire avait produites ? Le médecin ne sera-t-il pas excusable alors de traiter son malade par les seuls moyens de guérison que lui présentent et la connaissance de la maladie, et la connaissance qu’il a de l’esprit humain ?

Pour tous les autres cas d’impuissance par cause morale, c’est encore sur l’intelligence de son malade que le médecin devra agir. Les conseils que nous avons donnés pour les impuissances par émotion seront applicables, avec toutes les modifications qu’y nécessiteront les habitudes et les imaginations ou préoccupations, dont ii faudra détourner le cours.

Nous pouvons mettre en regard de ces impuissances celle qui résulte de l’habitude, de la satiété des rapports avec la même personne. C’est ce qu’on voit arriver malheureusement dans certains mariages, d’ailleurs bien ordonnés. L’amour le plus vif au début est loin de mettre à l’abri de cette impuissance ; au contraire, à force de se satisfaire, il en vient peu à peu â se rassasier, puis il se désenchante, puis c’est une dette qu’on paye à d’anciens souvenirs, aux convenances, au respect humain, puis c’est une charge dont on finit par se débarrasser autant qu’on le peut. C’est ainsi que trop souvent les choses se passent, quand le ménage est institué entre deux personnes trop jeunes, trop ardentes, trop peu fixes dans leurs idées, dans leurs habitudes, trop disposées à se laisser entraîner par leurs passions du moment ; trop livrées en tête-à-tête, à la retraite, à l’inoccupation.

Pour prévenir cette impuissance, pour y remédier quand elle est venue, il faut prendre justement le contre-pied des causes capables de l’amener. Ainsi on conseillera une plus longue et plus grande séparation entre les époux, des voyages, des occupations qui les tiennent à distance l’un de l’autre, ou en rapport dans des conditions toutes différentes du tête-à-tête ; on les prémunira, dans le commencement contre des approches trop fréquentes ; il sera bon que la satisfaction de leurs désirs rencontre quelquefois des obstacles ; il aura été sage d’empêcher, de retarder pendant un certain temps des unions trop jeune ; il aura souvent été utile que la femme oppose à des désirs trop fréquents une résistance convenable ; qu’elle ne se soit pas trop livrée à la discrétion de son époux. Le mal arrivé, il faudra revenir sur le passé, et refaire ce qu’on n’aurait pas dû oublier ; élever des obstacles franchissables, des résistances pour céder ; provoquer par des artifices qui sont dans la nature de la femme même la plus honnête, des désirs qu’on se gardera bien d’assouvir immédiatement ; séparer des lits trop longtemps communs, autant du moins qu’on pourra compter sur la probité conjugale d’un mari devenu relativement impuissant. Je pose en fait qu’un médecin expérimenté et une femme intelligente viendront toujours à bout de guérir dans ces cas un mari d’un caractère solide et d’une bonne foi raisonnable et juste.

Je n’en peux pas dire autant pour d’autres abus, qui causent plus souvent l’impuissance. Je veux parler des abus qui ont eu lieu souvent avant le mariage et qui quelquefois continuent après. Tantôt, c’est un homme qui longtemps avant l’âge de la puberté aura contracté l’habitude d’une masturbation réitérée. Il sera tombé peu à peu dans l’état que nous avons décrit plus haut sous le nom d’état nerveux par masturbation ; il y aura perdu toute vigueur d’esprit et de corps, toute légitime affection du sexe, toute puissance d’une satisfaction régulière. D’autres fois l’homme aura échappé à ce premier danger ; mais la fougue et la vigueur de la jeunesse l’auront porté à des sacrifices vénériens beaucoup trop multipliés, ou il se sera fait un point d’honneur misérable de se montrer là-dessus plus capable à la manière d’Hercule. II en sera résulté plus tôt un affaiblissement des organes et des facultés dont on aura abusé ; la satiété sera venue, non de la personne, mais de la chose, outre les affections diverses qui auront pu se produire encore au milieu de ces dévergondages. D’autres fois enfin la masturbation au jeune âge, les prétentions herculéennes vers l’âge adulte n’auront été pour rien dans la production de l’impuissance ; mais elle sera venue de la multiplicité des objets à qui des hommages auront été adressés. L’homme se sera ainsi plus ou moins vite blasé ; il n’y aura plus que des excentricités en matière vénérienne qui puissent réveiller des sens engourdis par la promiscuité des jouissances. De ces trois sources ensemble sont sortis ces monstres de débauche qui réveillent les impuissants, ces manoeuvres révoltantes par lesquelles on ranime les cadavres des blasés, ces hideuses recherches sur lesquelles spéculent souvent les proxénètes, ces dépravations contre nature dont les anciens riaient sans pudeur, dont les Orientaux ne rougissent pas, et dont la civilisation tend heureusement à débarrasser de plus en plus notre climat.

L’impuissance résulte alors de deux causes : de la perte des forces viriles, ou de la perte de la sensation, du désir sexuel qu’il aurait fallu conserver ; le plus souvent de l’une et de l’autre tout à la fois. Ce sont là les principales sources d’indications thérapeutiques où le médecin devra puiser, en combinant, suivant le cas, les ressources qu’il aura trouvées dans l’une ou dans l’autre.

La première chose qu’il devra faire, dans tous les cas, c’est d’arrêter, par des conseils sérieux, par un jour éclatant jeté sur l’avenir qu’on se prépare, par toutes les raisons capables de toucher l’intelligence, le coeur, la moralité, s’il en reste, et certainement par la crainte physique ou morale, les abus qui auront causé tout le mal. Sans cette première conquête, on ne peut rien obtenir pour le malade ; elle est la première, l’indispensable condition du succès. Autrement le mal ne peut que persévérer et s’aggraver.

Pour remédier ensuite à l’épuisement des forces, il faut régler le régime et les habitudes, de manière à entretenir et à exciter convenablement toutes les fonctions. Un emploi méthodique des aliments et des boissons analeptiques, d’un exercice sans fatigue, en voiture, à cheval, à pied, à l’air ou dans l’appartement, tel que les forces le permettent ; un usage régulier des stimulants, porté aussi loin que l’état nerveux pourra le souffrir ; le choix d’un air sec et pur ; l’immersion fréquente dans des bains frais, gélatineux, savonneux, sulfureux, ferrugineux ; les voyages aux eaux de cette dernière espèce ; l’usage des ferrugineux sous toutes les formes tolérables tant qu’existeront des signes de chlorose ; tels sont les moyens qui devront faire la base du traitement. On les variera, on les augmentera de puissance selon les temps et les effets obtenus, en suivant surtout pour règle de conduite la loi qui veut que toute addition se fasse selon le bon plaisir de la nature et avec son parfait consentement. En l’interrogeant bien, en observant ses prescriptions, je dirais presque ici ses caprices, on parvient presque toujours, pourvu que l’âge le comporte, et pourvu que des altérations matérielles ne se soient pas encore produites à trouver le moyen de lui faire accepter ce qu’on lui offre à propos. On doit attendre beaucoup du temps ; il ne faut pas espérer que d’un état de délabrement on revienne tout d’un coup à la santé ; le médecin et le malade ont ici besoin tous deux d’une longue patience ; cette qualité nécessaire, il faut que le malade joigne une confiance et une
docilité aveugles, et le médecin une connaissance profonde des ressources de l’art et du sujet qu’il traite.

L’abolition de la sensation vénérienne, du désir et de l’érection complète doit être traitée à peu près comme nous l’avons indiqué toute à l’heure, en parlant de la satiété individuelle ; les ménagements, l’éloignement du sexe jusqu’à l’occasion, jusqu’au moment opportun, la graduation attentive dans les essais à faire pour juger des désirs et de la puissance revenus, se gouvernent et se suivent à peu près de la même manière. Je n’ai pas de préceptes spéciaux à donner ; ils se déduisent tous pour un médecin intelligent des remarques sur lesquelles nous avons insisté tout à l’heure.

C’est comme pour les cas où les deux éléments, force et sensation, manquent à la fois. On conçoit bien d’abord que le premier devra être rappelé avec le plus grand soin ; le traitement de l’autre ne viendra s’ajouter au traitement de la force que quand la puissance virile, la puissance de tout l’organisme surtout auront repris un développement convenable. Tout l’art consistera à combiner le traitement avec sagesse, de manière à ne pas épuiser les forces en excitant les désirs, et à ne pas laisser le désir s’éteindre pendant le rétablissement des forces.

Je n’ai rien dit au milieu de tout cela de l’usage des aphrodisiaques. Ces moyens, quand ils ont quelque chose de réel, comportent presque toujours avec eux aussi des dangers. Il faut une bien grande connaissance de son malade, et souvent de la hardiesse pour en faire usage. Presque toujours, on ne tarde pas à se repentir d’avoir ainsi réveillé artificiellement pour un instant un feu près de s’éteindre. Les conseils hygiéniques que je viens de donner me semblent de beaucoup plus sûrs et meilleurs. C’est à ceux-là que je crois devoir m’arrêter ; les autres s’adressent plus souvent à la débauche qu’à la maladie et je n’ai pas envie de faire ici un complément aux livres de Bartholin et de Meibomius de usu flagrorum in re venereâ, une addition aux prétentions d’Alphonse Leroy et de Mondat.

C’est ce que je dirai aussi pour l’impuissance dont l’âge est la véritable cause. Quand on veut alors renouveler la jeunesse ou l’âge mûr, on ne manque pas de précipiter sa mort. Turpe senex miles, turpe senilis amor. Ce qu’il y a de mieux à faire est de se résigner au conseil que donne impérieusement la nature. Heureux ceux qui savent la comprendre à temps, et se soumettre sans résistante à l’arrêt qu’elle a porté.

Enfin je ne dirai qu’un mot de certaines impuissances qui résultent d’états maladifs, sans que les organes génitaux, ni les centres nerveux y semblent activement intéressés. Ces sortes d’impuissances secondaires sont en quelque façon symptomatiques, et par conséquent se rapportent bien plutôt à l’histoire des maladies dont elles dépendent qu’à celle des affections dont nous nous occupons. Telles sont les impuissances qui résultent de maladies locales momentanées des testicules, de la verge, de l’urètre, du col de la vessie, de la vessie, et des reins ; celles qui dérivent de maladies générales, les fièvres, le scorbut, la syphilis constitutionnelle, l’anémie, etc. Il me suffira de faire remarquer que la maladie primitive soignée remplit la première et pour ainsi dire la seule indication à satisfaire dans ces impuissances. Ce serait sortir de notre sujet que de les examiner et de les exposer, avec quelque détail.

P.-S.

Texte établi par PSYCHANALYSE-PARIS.COM d’après l’ouvrage de C. M. S. Sandras, « De l’impuissance », Traité pratique des maladies nerveuses (Chapitre X), T. II, Éd. Germer-Baillère, Paris, 1851, pp. 238-248.

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