Le petit sigmund fut précocément marqué par les fées de la psychanalyse (qu’il n’aurait d’ailleurs plus qu’à inventer). Il naquit en 1856 en Moravie. Le cher Sigmund est pétri de questions existentielles, né en Mort à Vie (Moravie) toute sa vie il travailla à dépasser et anticiper sa mort. Après une enfance sans histoire, si ce n’est de banals désirs incestueux à l’endroit de sa mère et un solide désir de parricide (que le temps réalisera pour lui... car les pères ont cette fâcheuse tendance de mourrir avant les fils). Il travaillera très bien à l’école, sauf en gym, puisque incapable de grimper à la corde à noeud : cela laissera un traumatisme apparemment indélibile. Jeune adulte il se tourne vers les brillantes carrières de la science et se lance dans de passionnants défis. Découvrir où se cachent les organes sexuels des anguilles (mais où sont ces gonades avait-il coutume de répéter...). Il autopsie, éventre et dissèque pendant tout un été ces charmantes créatures afin de déterminer leur genre sexué... Qui dit mieux comme anticipation à la bisexualité psychique... Au pays de Mungsid Deurf se glissent et s’offrent de multiples indices : À toi néophyte ou exégète de l’oeuvre du viennois planant de retrouver tous les signes et leurs correspondances dans l’oeuvre du maître.