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Un pas de côté du démon du mi-dire

Un père, une bévue

Date de mise en ligne : samedi 10 juin 2006

Auteur : Paul PAPAHAGI

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Texte d’introduction à la séance de cartel sur la « Jouissance féminine et mystique » du jeudi 18 mai 2006.

Un pas de côté du démon du mi-dire [1]
Un Père, Une Bévue

Un travail non bouclé est un travail bâclé à en croire le dénommé Auber Jacques. Pour commencer par un peu de grammaire, quel est le féminin d’Auber Jacques ? Si pour lui le féminin de l’homme est virago comme la nomme Madame Adam au paradis, pour Lacan le féminin de LOM est l’hommelle à ne pas confondre avec la lamelle qui est le mythique organe de la libido, toujours selon Lacan.

Je m’en vais donc vous donner le féminin d’Auber Jacques qui est, vous l’avez deviné peut-être : aubergyne avec un i grec.

Il se trouve qu’avec la poubélication du séminaire sur le Sinthome, ce cher J.A.M. à Lacan s’est mouillé avec sa notice de fil en aiguille, tant est si bien qu’il va jusqu’à tomber dans le trou de la Blavatski tout comme son homonyme, Henry de son prénom. Je cite H. M. cité par JAM :

« Je fus fasciné par ses yeux et j’eus d’elle une vision aussi complète que si elle s’était trouvée dans la pièce. Je ne sais pas si cela est en rapport avec ce qui s’est produit ensuite, mais, dans un éclair, je compris que j’étais responsable de tout ce qui m’arrivait dans mon existence, quel que fut l’événement qui avait pu se produire... À présent je suis libre et personne d’autre que moi n’est responsable de ce qui m’arrive... »

S’agirait-il d’une passe sans analyse ? Allez savoir ! Toujours est-il qu’il partage sa conversion à la théosophie avec des noms illustres tels que : Edison, Camille Flammarion, Joyce, Kadinski, Malevitch, Paul Klee, Scriabin, D. H. Lawrence, T. S. Eliot et un nommé Albert Einstein. Que de beau monde me diriez-vous !

Pour ma part, la Blavatski n’est pas sans me rappeler notre chère Isabelle Eberhardt et la moins chère Anaïs Nin.

a) La Contrainte

Même si Lacan a pu se tromper en pensant qu’il y a 6 noeuds borroméens à quatre, son hérésie (R.S.I.) et le Sinthome qu’il désigne par la lettre Sigma au moment de son séminaire du même nom - au point de faire le projet de parler des 4, 5 et 6 l’année d’après à la page 52 du séminaire sur le Sinthome -, nous trouvons le schéma 3 + 1 comme suit :

R.S.I.
S.I.R.
I.R.S.
 Sinthome

Il y a bel et bien 3 noeuds boroméens à quatre ronds (je viens de m’apercevoir que pour Lacan le boroméen à trois est le noeud de trèfle où les trois dimensions R.S.1. se trouvent raboutées), et du fait de la contrainte introduite par ce quatrième rond qui n’est pas sans nous rappeler celle introduite par la syntaxe a, b, g, d [2] le 1-2/3-4 sont couplés, même si les éléments de chaque couples sont intervertibles.

Bien évidemment ce n’est pas la même chose que le Sinthome (Sigma) soit supporté par le rond du symbolique, de l’imaginaire et du réel.

Si Lacan fait le choix du couple symbole/Sinthome, il est littéralement soufflé par la rencontre de Chomski qui, lui, confond symbolique et réel. Lacan espérait tout de même que Chomski, comme spécialiste du langage allait lui apporter quelque chose à se mettre sous la dent concernant ce qui l’occupe lui, Lacan.

Je vous ai apporté ces trois noeuds boroméens à quatre ronds que vous pouvez manipuler à votre guise.

Pour Lacan, le symbolique et le Sinthome forment un faux trou, rendu vrai part un tore qui vient cerner, par sa consistance l’un ou l’autre des côtés du faux trou.

Une autre possibilité, c’est le passage d’une D.I. (droite infinie) qui au point d’infini justement se confond avec un cercle.

Mais la contrainte du quatre peut aussi mener nos pas vers les quatre discours qui selon Lacan ne tournent pas rond. Elle (la contrainte) est figurée par un petit triangle noir en bas de la flèche qui réunit les deux fractions entre la place du produit (a) et la place de la vérité (S) dans le discours du Maître, qui pour Lacan est le discours de l’inconscient, ce discours sans sujet.

Il y a eu un Autre, Althusser pour ne pas le nommer, qui a parlé de quatre discours - pas les mêmes que ceux de Lacan, bien que non sans rapport avec les siens. Je les ai trouvé dans l’article de Jean-Paul Bucher (p. 99 du n° 12 des Cahiers pour une école) et m’en vais vous les dire :
 Discours de l’inconscient (ou discours inconscient)
 Discours scientifique
 Discours idéologique
 Discours esthétique

J.P. Bucher caractérise la rencontre Lacan-Althusser de fausse rencontre car ce qui est visé est un « savoir tout » et le sujet divisé passe à la trappe.

Il va de soi que l’idée d’orthodoxie et le « parler on » qui fait le sacrifice du poétique comme il ressort des deux articles de Alain Didier-Weil, Bénir, maudire, ou mi-dire Lacan et Formation orthodoxe font glisser J.A.M. des quatre discours de Lacan du côté des quatre discours d’Althusser, son Maître.

Enfin, c’est encore la contrainte que Lacan va éprouver lorsque pendant deux mois il va s’escrimer à nouer borroméenement quatre noeuds de trèfle pour rendre compte de ce qui s’était passé pour son Aimée, le Sinthome, de même consistance mais non psychotique, faisant tenir ensemble trois paranoïaques.

Travaillant ensemble, les nommés Thomé et Souri vont pondre ce noeud en un tour de main, ce qui permettra à Lacan de remarquer la différence de la réponse du vert et du noir par rapport à celle du bleu et du rouge, autrement dit la réponse du Sinthome à l’imaginaire par rapport à celle du symbolique au réel. C’est l’occasion pour moi de vous témoigner un étonnement d’apprendre que c’est le symbolique qui mange le réel et non l’inverse comme je le pensais. Ça m’a soufflé non moins que Chomski avait soufflé Lacan. Pour me faire pardonner de cette bévue je vous propose une longue citation de la leçon n° 1 du séminaire sur le Sinthome :

« Remarquons au passage que dans la Création dite divine seulement en ceci qu’elle se réfère à la nomination, la bactérie n’est pas nommée. Elle n’est pas nommée quand Dieu, bouffonnant l’homme supposé originel, lui propose de commencer par dire le nom de chaque bestiole.

De ce premier déconnage nous n’avons de trace qu’à en conclure qu’Adam, comme son nom prononcé à l’anglaise l’indique assez -allusion à la fonction de l’index chez Pierce était un Madame (souligné dans le texte du séminaire qui est de J.A.M.), selon le joke qu’en fait Joyce justement.

Il faut supposer en effet qu’Adam n’a nommé les bestiaux que dans la langue de celle que j’appellerai l’Evie [allusion au nom propre des compagnons de Moïses, les lévites, pendant la traversée du désert - Freud dixit]. J’ai bien le droit de l’appeler ainsi puisqu’en Hébreu, si tant est que l’Hébreu soit une langue, son nom veut dire la mère des vivants [souligné dans le texte]. Eh bien l’Evie l’avait tout de suite et bien pendue, cette langue, puisque après le supposé du nommé Adam, [Dame !], la première personne qui s’en sert, c’est elle, pour parler au serpent.

La Création divine redouble de la parlotte du parlêtre comme je l’ai appelé, par quoi l’Evie fait du serpent ce que vous me permettrez d’appeler le serre-fesses, ultérieurement désigné comme faille, ou mieux phallus puisqu’il faut bien un pour faire le faux-pas.

C’est la faute, le sin dont c’est l’avantage de mon sinthome de commencer par là. Ça veut dire en anglais le pêché, la première faute. D’où la nécessité du fait que ne cesse pas la faille qui s’agrandit toujours, sauf à subir le cesse (souligné dans le texte) de la castration comme possible. »

b) La Faute

Avant d’aborder la faute selon Lacan, je fais une parenthèse en passant par l’exposé de Jacques Auber.

Joyce est accroché par la théorie d’un critique anglo-saxon concernant Hamlet, joué souvent par des femmes. Je cite Auber :

« Ce soir Léa. Madame Bandman Palmer. Aimerait la revoir là-dedans. Elle jouait Hamlet hier soir... Travesti. Peut-être était-il une femme. Est-ce pour ça qu’Ophélie s’est suicidée ? »

S’agit-il d’un pousse à la femme où cela évoque-t-il le lien entre la névrose obsessionnelle et le côté femme ? Du reste en bon obsessionnel Hamlet se trompe sur le timing tout comme Créon qui, lorsqu’il finit par accepter sa faute, va enterrer Polini avant de sortir Antigone de la tombe.

Dans Ulysse il y a un certain J. J. O’Molloy, un avocat qui succombe au jeu avant de s’adonner au travail littéraire dans les journaux.

Je cite Auber qui cite Joyce :

« Tourné vers Stéphen J.J. O’Molloy lui dit posément : L’une des périodes les plus harmonieuses que j’ai jamais entendues de ma vie, je la dois aux lèvres de Seymour Bushe [patronyme qui à une lettre près, signifie buisson, et également toison sexuelle]. »

Il y a aussi cette remarque d’Auber qui dit incidemment ceci :

« Ce que je voudrai simplement indiquer c’est la fonction de ce père parfaitement faux qui a les initiales à la fois de James Joyce et de John Joyce, le père de Joyce. »

Enfin, l’apothéose de ce passage qui fait pont avec une mienne remarque :

« Une chose encore concernant le Bush. Le Bushe éloquent, parlant de Moïse, parle aussi d’un Holy Bush, celui de la Bible ; l’Eternel dit à Moïse que le sol devant le Buisson ardent est Holy, un Holy Bush qui se trouve avoir un certain rapport avec le fox. Car lorsque J.J. O’Molloy reparaît dans “Circé”, il a des moustaches de renard, et quelque chose de l’avocat Bushe : renard que l’on a aperçu à plusieurs reprises dans le Portrait : il y apparaît bien sûr parce que Fox est un des pseudonymes de Parnell, associé à sa faute. »

Le lien entre Bush père et fils, l’axe du mal - bien évidemment - et la faute n’est plus à démontrer.

Qu’est-il donc arrivé à Joyce ? Pour l’illustrer Lacan se sert d’une part du noeud boroméen à trois ronds où, à la faveur d’une faute au niveau d’un des croisements du rond du symbolique avec le rond du Réel, le rond de l’imaginaire est libre et les ronds du Réel et du Symbolique se retrouvent enlacés.

Pour éviter que le rond de l’imaginaire ne se barre, un rond supplémentaire est nécessaire, le sinthome, qui chez Joyce correspond à l’ego mais aussi au nom du père comme symptôme, ce qui chez lui passe par son oeuvre littéraire pour rétablir la structure borroméenne R.S.I.

Battu à coups de bâtons par une bande de jeunes sous la direction d’un dénommé Héron, nom qui n’est pas sans évoquer l’Eron grec, l’affaire a été, par Joyce, évacuée comme une pelure. Comme chez Schreber il est laissé en plan, à ceci près que c’est par son corps qu’il est lâché.

Pour réparer sa structure, Joyce se donne pour gageure d’intéresser les universitaires à son oeuvre pendant trois cent ans. Le comble c’est qu’il y arrive.

L’autre illustration de Lacan passe par le noeud de trèfle, dit noeud à trois (à trois croisements bien entendu). Le voici :

Maintenant supposez que survient une faute sur l’un de ces croisements, par exemple celui d’en bas comme ceci :

La structure borroméenne sera de ce fait supprimée et il y aura passage d’un noeud singulier à un noeud trivial, à savoir un rond, sauf si une opération de réparation survient.

Pour réparer le noeud à trois il faut une autre consistance torique à qui, par convention on peut donner la couleur verte.

II y a deux possibilités : soit la réparation survient au même endroit que la faute, soit elle se situe au niveau des deux croisements non-concernés par la faute.

Dans cette dernière éventualité on aboutit à des noeuds identiques :

Et par retournement de la boucle libérée on obtient un noeud du fantasme ou les deux couleurs sont interchangeables donc strictement équivalentes. Si les couleurs sont les deux sexes, le pas de rapport sexuel reste vrai.

Maintenant examinons ce qui se passe si la faute est corrigée au lieu même ou elle se produit :

Dans ce cas le rouge et le vert ne sont pas interchangeables puisqu’on voit que le cercle vert est intérieur au cercle rouge dans la première présentation du noeud en double huit ; et c’est toujours le rouge qui est extérieur dans la deuxième présentation du noeud en huit, comme on peut le constater ci-dessus.

Il n’y a pas, dans ce cas, d’équivalence des deux sexes, donc le rapport sexuel devient possible.

C’est là-dessus que Lacan fait travailler son cher gendre, JAM.

Le Sinthome rend possible le rapport sexuel dans la mesure ou l’autre sexe est supposé du sinthome.

c) L’Équivoque signifiante

Lorsque JAM, encore lui, fait remarquer à Lacan, que la langue est à la fois l’instrument de la parole et le porteur des papilles gustatives Lacan rétorque : ce qu’on dit ment. Selon lui c’est l’équivoque qui libère le sinthome.

Tout comme il n’y a pas de trieb olfactif, il n’y a pas de trieb gustatif ; et la réponse de Lacan, par son mi-dire, fait interprétation, façon de dire à son gendre qu’il ne trouve pas sa remarque à son goût.

C’est encore jouer sur l’équivoque signifiante que d’illustrer par le noeud Bo la senti-mentalité du parlêtre car il est un fait que l’être alité ment c’est sa ment-alité.

À partir du cogito c’est encore par l’équivoque signifiante que Lacan aboutit à cette formulation :
 « Je le panse donc je l’essuie »,
car le sexuel ment de trop se raconter.

C’est par l’intermédiaire de deux épissures que Lacan obtient, à partir d’un noeud boroméen à trois ronds, un noeud de trèfle ouvert : ce qui supprime la jouissance de l’Autre barré.

d) Joyce était-il fou ?

C’est la question que Lacan posera à Jacques Aubert à la suite de son exposé où il avait parlé d’hallucinations, de nom de père et de trou.

Pour se repérer dans sa question, Lacan part de la distinction du vrai et du réel. Car si pour Freud le vrai ça fait plaisir, peut-on en dire autant du réel ? Là où Freud est nécessité du Jenseits (l’au-delà...), d’introduire la pulsion de mort, Lacan fait remarquer que la jouissance c’est du réel.

Le fait que Lacan ait commencé par Écrits inspirés lui permet de poser la question par quoi les écrits de Joyce lui ont-ils été inspirés ? Joyce a laissé énormément de notes mais aussi énormément de lettres et dans « tout ce fatras », Lacan dit ne pas s’y retrouver.

Même s’il a perdu la foi comme Joyce le confie, des enseignements de l’Église, il n’ose se dépêtrer de ce qui constitue l’armature de sa pensée, et Lacan prend Auber à témoin de ce que dans les Écrits de Joyce il y a le soupçon qu’il se fait lui-même un rédempteur.

De son côté Auber évoque la figure d’un père qui est un juif renégat et une mère, mud, qui glisse sur la boue du christianisme. Il s’agit d’imiter le Christ, donc imiter le fils.

Cette histoire de juif converti me rappelle ce livre sur Marx et l’argent où le père se convertit au protestantisme pour réussir en affaire et le fils, Karl Marx, conçoit l’argent comme un réel de nature à se reproduire tout seul, comme ce Dieu des juifs qui est à supprimer.

Mais pour revenir à Joyce, il y a Nora et les lettres d’amour à elle adressées où il y a un drôle de rapport sexuel ; car pour Joyce il n’y a qu’une femme. Ce n’est que par la plus grande dépréciation qu’il en fait une femme élue. Il faut qu’elle lui aille comme un gant alors qu’elle ne lui sert à rien. Chaque fois que Nora attend un enfant c’est le drame. Car entre Nora et Jim, comme elle le nomme, rien ne va plus quand il y a un rejeton.

Quant au clitoris, métaphore ou pas, il devient un point noir. Et Lacan de s’étonner de l’intérêt d’une femme pour les points noirs des garçons !

Si le sadisme est pour le père et le masochisme pour le fils alors l’idée de rédempteur est une père-version (en deux mots).

Il faut croire, comme le fait Freud, au passif et à l’actif pour expliquer la sadomasochisme par la polarité actif-passif alors que pour Lacan, sadisme et masochisme n’ont rien à voir.

Le réel se faufile, comme s’exprime Auber, dans les mailles du vrai ; d’où l’idée de noeud. C’est en s’auto perforant que le vrai créé de toutes pièces le sens.

e) Désabonné à l’inconscient

Si pour Lacan Joyce est stimulant, c’est parce que tout le monde se casse les dents. Car pour le psychanalyste, Joyce est un affreux a-Freud. Car si le feu est le masque du réel, c’est du côté du zéro absolu qu’il faut le chercher. L’orientation du réel - car c’est d’un réel orienté dont nous parle Lacan -, forclot le sens. En cela la forclusion est quelque chose de plus radical que l’insoutenable légèreté du nom du père.

Pour Lacan la psychanalyse est un court-circuit passant par le sens qui est la copulation du langage avec le corps.

Que chez Joyce le symptôme est ce qui abolit le symbole, fait de Joyce un désabonné à l’inconscient. Cela se vérifie de ce qu’il ait publié Finegans Wake. Comme le nom de Freud, celui de Joyce est allusion à la jouissance. C’est ce qui fascine le lecteur. Car le nom-du-père est cet élément quart sans lequel rien n’est possible dans le noeud du symbolique, de l’imaginaire et du réel. Pour Joyce c’est un sinthome en tant qu’il est voué à l’inconscient, c’est-à-dire au singulier chez chaque être. Joyce s’identifie à l’individual.

Lacan fait le lien entre la rencontre avec Joyce et celle de René Guénon, qui « ne valait pas plus cher ».

Tout compte fait, Finegans Wake est un rêve en rond où le the de la fin est à racoler au riverrun du début. Le symptôme de Joyce n’a aucune chance d’accrocher quelque chose de « votre inconscient à vous ». Une fin qui ne se boucle pas ou l’apocalypse qui fait peur à Jacques Auber ?

Notes

[1Citations et schémas sont empruntés du Séminaire de Jacques Lacan, Livre XXIII : Le Sinthome, Seuil, Paris, mars 2005.

[2Cf. Agnès Sofyiana, La coupure et la Loi.

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