« La métaphore comme déni de la métonymie donc, et de ce fait, dans le cas qui nous préoccupe, le Vautour, qui vient là comme une métaphore, qui vient rompre avec la métonymie des désirs maternels de Léonard de Vinci.
Métaphore de Freud également, qui s’adressant à Jung à son retour de ce fameux et fabuleux voyage d’Amérique, lui met entre les pattes ce Vautour, bref lui met entre les griffes, entre les serres, la question de la transmission psychanalytique.
– La métaphore, comme une hérésie (RSI) vient briser la série (SRI). C’est-là le déplacement de la lettre, la père-mutation du nœud borroméen !
C’est comme ça que l’analyse dénoue les symptômes : dîtes ce qui vous passe par la tête, autrement dit faîtes série (SRI), vous tomberez, tôt ou tard, sur le futur antérieur de la métaphore, sur l’hérésie (RSI), sur l’hérésie de votre propre structure psychique, de votre propre trou-matisme.
Pour qui se soumet à cet exe-RSI-S, doublement symbolique donc, ça ne peut pas manquer... La cure analytique, la cure par la parole, la cure par la série - la cure par le SRI -, pour qui la tient par le bon bout, par le bon bord, par le bor-roméen, est d’une efficacité thérapeutique qui ne sera jamais égalée » (C. Bormans, Das Ding chez les Tontons flingueurs).