« Je ne te l’ai rendu que pour te le reprendre,
et ne te le ravis que pour mieux te le rendre.
Oui, je voudrais pouvoir, au gré de ma fureur,
le porter tout sanglant jusqu’au fond de ton cœur.
Quel qu’en soit le forfait, un dessein si funeste,
s’il n’est digne d’Atrée, est digne de Thyeste » (Atrée et Thyeste, Acte 5).